SAISON 11 - EPISODE 14
LE CREUX DE LA VAGUE
The End of the World
diffusion originale : 13/08/2003 - episode # 305 (#77)

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Scene 4
Wilshire Memorial Hospital

Monica se rend à l'hôpital et demande des explications à Michael, voulant savoir ce qu'il s'est passé la veille, car elle a complètement perdu la mémoire et ne se souvient de rien.

MICHAEL : - Monica, quelle surprise !
MONICA : - Michael, je voulais te voir.
MICHAEL : - Tu m'as interrompu en pleine consultation, il y a intérêt à ce que ce soit urgent.
MONICA : - je suis venue pour avoir des explications.
MICHAEL : - Des explications ? A quel sujet ?
MONICA : - Je suis venue à l'hôpital hier ?
MICHAEL : - Pourquoi me poses-tu cette question ?
MONICA : - Réponds simplement à ma question, je t'en prie !
MICHAEL : - Evidemment que tu es venue hier, ne sois pas bête. Comment peux-tu me poser cette question !
MONICA : - (désespérée) Je deviens aussi folle que ma soeur, c'est pas croyable !!
MICHAEL : - Pourquoi dis-tu ça ?
MONICA : - Eh bien, je n'ai absolument aucun souvenir de ma journée d'hier. J'ai juste cette marque de prise de sang sur mon bras. Je voudrais savoir ce qui s'est passé. Peux-tu m'aider Michael ?
MICHAEL : - Eh bien c'est très simple, tu m'as téléphoné en début d'après-midi car tu devais faire une prise de sang, et je suis venu chez toi directement pour la faire. Maintenant que tu me le dis... effectivement, je t'ai trouvée un peu étrange... Tu n'avais pas l'air bien dans ton assiette.
MONICA : - Tout s'explique ! Je croyais que j'étais venue ici, que suis-je bête ! Il faut que j'arrête d'être paranoïaque ou je vais finir aussi aigrie que cette chère Lexi !
MICHAEL : - Tu as tout simplement fait un malaise hier... Tu ne dois pas t'inquiéter, tout est normal dans ton état...
Monica touche et regarde son ventre.
MONICA : - C'est vrai. j'ai hâte que ce petit enfant soit là. Dis-moi, est-ce que James est déjà venu faire les tests ?
MICHAEL : - Oui. Il est passé déjà. Il y a quelques jours.
MONICA : - (anxieuse) Et as-tu déjà les résultats de la paternité ?
MICHAEL : - (mentant) Non.. non non, je n'ai pas encore les résultats.
MONICA : - Tu penses les avoir quand ?
MICHAEL : - Oh je ne sais pas trop... dans quelques jours. T'en fais, je vous le ferai parvenir en personne !
MONICA : - Bien. En tout cas, merci d'avoir répondu à mes questions. Je ne vais pas abuser encore plus de ton temps.
Monica remercie Michael en lui faisant la bise sur la jour droite et quitte son bureau.

Scene 5
Wilshire Memorial - Service Psychiatrique



 
 
MEDECIN : - Docteur Burns, merci d'être revenu aussi vite.
PETER : - Comment va t-elle ?
MEDECIN : - Malheureusement, ça ne s'arrange pas.
PETER : - Est-ce que je peux la voir ?
MEDECIN : - Oui, nous allons entrer, mais je tiens à vous prévenir que votre femme est particulièrement agitée aujourd'hui.
PETER : - Je suis prêt.
Peter et le médecin entrent dans la chambre et découvrent Amanda prostrée dans un angle de la chambre, accroupie par terre faisant un signe de croix avec ses doigts, en pleine crise de démence.
AMANDA : - Allez vous-en !!! Retournez en Enfer !!! Tu ne m'auras pas, Craig !!! Toi non plus Brooke !!! Je vous combattrai de toute mes forces jusqu'à ce que vous brûliez !!!
Peter s'approche lentement de sa femme.
PETER : - Chérie ? Chérie, c'est moi.
Amanda relève la tête vers Peter.
AMANDA : - (pleurant) Oh Peter, je t'en prie, dis-leur de s'en aller maintenant. Ils me font trop de mal !
PETER : - Voyons chérie, il n'y a personne.
AMANDA : - (hurlant) Attention, derrière toi !!!!
Peter se retourne avec stupeur... Mais il n'y a rien.
AMANDA : - Craig a voulu te tuer, chéri... Il a voulu... si... il a voulu...
PETER : - Amanda, je t'assure qu'il n'y a personne dans cette chambre mis à part toi, moi et le docteur Lyons.
Amanda se relève avec furie et regarde Peter avec haine.
AMANDA : - Tu ne me crois pas hein ?? Tu crois que je suis folle, c'est ça ?? Je t'ai dis qu'ils sont là ! Tous !!! Ils veulent ma peau, les ordures, comme des charognes s'attaquant à leur proie !! Mais je me laisserai pas faire !!! Ah ça non...
Le médecin prend alors les choses en main et administre à Amanda un calmant par seringue.
AMANDA : - Oh non... Oh non pas ça... pas de piqûre...
Le médecin allonge Amanda sur son lit d'hôpital. Elle se calme instantanément.
MEDECIN : - Docteur Burns, je crois que nous devrions sortir à présent et la laisser se reposer.
Peter quitte sa femme sous le choc. Dehors, le médecin semble alarmiste.
MEDECIN : - Son état empire. Docteur Burns, je crois qu'il va falloir prendre une décision le plus rapidement possible.
PETER : - Quel genre de décision ?
MEDECIN : - Je crois que l'internement dans un centre spécialisé est la meilleure solution pour permettre une guérison la plus rapide.
PETER : - (horrifié) Oh non !!! Pas ça !! Ne me demandez pas de faire interner ma femme, c'est au-dessus de mes forces.
MEDECIN : - Réfléchissez-y bien. J'ai bien peur de ne pas être assez compétent pour guérir votre femme...
Le médecin laisse Peter seul, avec son cas de conscience.

Scene 6
Agence de Voyage

Ross se rend dans une agence de voyage pour acheter des billets d'avion. A l'acceuil, une jeune femme, agent de voyage.


ROSS : - Bonjour.
AGENT DE VOYAGE : - Bonjour Monsieur. Puis-je vous renseigner ?
ROSS : - Oui, je voudrais acheter trois billets d'avion pour les Bahamas.
AGENT : - Les Bahamas ? Hum très bon choix. De plus, c'est une excellente période pour y aller. Avez-vous déjà vos dates ?
ROSS : - Le plus tôt possible. Ma femme et moi n'avons pas fait de voyage de noces, et nous aimerions y emmener mon fils. Nous avons tous les trois besoin de repos.
AGENT : - Très bien, il me reste justement quelques places sur un vol de demain matin. Est-ce que cela vous intéresse ?
ROSS : - Absolument.
AGENT : - Très bien. Comment rélgez-vous ?
ROSS : - Par carte bancaire. Attendez, bougez pas.
Ross cherche sa carte bancaire dans son portefeuille.
ROSS : - Oh merde, je me suis trompé. J'ai prise celle de ma femme...
AGENT : - Si vous voulez repasser dans la journée...
ROSS :  - NON. Non, ça ira. Je crois qu'elle ne m'en voudra pas si j'utilise la sienne. Je lui remboureserai plus tard. Si je ne rentre pas avec les billets d'avion, elle serait capable de m'assomer !
L'agent de voyage rit.
ROSS : - Ne riez pas, elle en serait réellement capable.
L'agent regarde attentivement la carte bleue.
ROSS : - Qu'y a t-il ? Un problème avec la carte de ma femme ?
AGENT : - Non, du tout. Je viens juste de me rendre compte que je connaissais votre nom et maintenant ça me revient. Le voyage de votre épouse s'est bien passé ?
ROSS : - Quel voyage ? De quoi parlez-vous ?
AGENT : - Et bien, son voyage à Cleveland. Vous savez, je m'en souviens parce que c'est pas habituel de voir une cliente faire un aller-retour pour l'autre bout du pays en quelques heures...
ROSS : - De quand date ce voyage ?
AGENT : - Tenez regardez, la date est inscrite ici.
Ross regarde l'ordinateur.
ROSS : - (dans sa tête) Il s'agit de la date où Phyllis est mort...
Ross reprend la carte bleue, pressé.
ROSS : - Je suis désolé, je dois y aller... C'est urgent !
Ross sort de l'agence de voyage et court vers sa voiture.
ROSS : - C'était donc vrai !!! Tu as assassiné Phyllis, Kimberly...
Ross démarre.

Scene 7
Oackhurst - Maison de Karen Cleary

Cameron se rend chez Karen Cleary à l'insu d'Eve pour tenter d'arranger les choses.


KAREN : - (surprise) Cameron ?? Que venez-vous faire ici ?
CAMERON : - Je suis venu vous parler d'Eve.
KAREN : - Je ne veux plus jamais en entendre parler. Allez vous-en maintenant.
CAMERON : - Ecoutez, Eve est très mal depuis ce qui s'est passé. je suis venu vous voir pour essayer d'arranger les choses entre vous.
KAREN : - Je crois qu'il n'y a plus rien à arranger, Cameron. Nous nous sommes tout dit.
CAMERON : - Non. Vous ne pouvez pas vous brouiller comme ça. Vous vous etes fait du mal toutes les deux mais il est temps de tirer un trait sur le passé, vous ne croyez pas ?
KAREN : - Je regrette simplement de vous avoir mêlé à tout ça. Je suis impardonnable d'avoir voulu vous piéger, je m'en veux. Je me rend compte que vous etes un homme bien, et que ma fille sera heureuse avec vous.
CAMERON : - Je suis persuadé qu'au fond de vous, vous regrettez de lui avoir fait du mal et que vous avez envie que tout s'arrange une fois pour toutes avec elle.
KAREN : - Eve ne me pardonnera jamais ce que j'ai osé faire. Et moi j'ai encore du mal à lui pardonner de m'avoir prit mon Mel...
CAMERON : - Cela fait plus d'une année et demi maintenant que cela s'est passé. Il est temps que vous alliez de l'avant, Karen. Pour votre bien à vous, et pour celui d'Eve. Elle se faisait une telle joie de venir vous annoncer qu'on allait se marier...
KAREN : - Je sais. Mais est-ce qu'elle a pensé à moi ? Quand elle m'a annoncé ça, je me suis dit que je n'ai pas eu la chance de connaître ce bonheur avec Mel, avec qui pourtant je souhaitais me marier.
CAMERON : - Eve n'a pas provoquer le tremblement de terre... Elle n'y est pour rien si Mel est décédé... Ne restez pas accrochée au passé. Soyez heureuse du bonheur qu'elle a enfin trouvé avec moi. Eve m'a raconté tous ses malheurs... la prison, les hommes qui l'ont fait souffrir... Croyez-moi, elle aurait de bonnes raisons de vous en vouloir à mort, vous n'avez jamais été là pour elle dans ces moments-là.
KAREN : - (baissant la tête) Je sais...
CAMERON : - Or, elle vous a pardonné. Et elle cherchait à se rapprocher de vous grâce à ce mariage. Maintenant c'est à votre tour de lui montrer que le passé est derrière vous.
KAREN : - Il est trop tard... Elle ne me pardonnera jamais.
CAMERON : - Si vous ne faites rien, c'est sur qu'elle ne vous pardonnera pas. Mais la balle est dans votre camp.

Scene 8
Une chambre d'hôtel

Maggie et Michael poursuivent leur complot contre le Wilshire Memorial où ils comptent dérober les fonds de l'hôpital.

MAGGIE : - Alors, chéri, tu es toujours partant pour qu'on fasse le coup du siècle ?
MICHAEL : - Ecoute, je ne sais pas si c'est une bonne idée de s'attaquer au Wilshire Memorial. Tu sais, j'ai vraiment travaillé dur pour arriver à être chef de clinique, je me dois d'être intègre envers cet établissement, tu ne crois pas ?
MAGGIE : - Arrrrrêêttte ! Je sais aussi bien que toi que tu te fous pas mal de l'intégrité que tu dois à cette clinique. Tu as tout autant envie que moi d'avoir de beaux millions sur ton compte en banque... Je me trompe, amour ?
MICHAEL : - Non... Tu as raison. J'aime m'argent et j'ai toujours aimé l'argent. Mais je risque gros si on se fait prendre la main dans le sac !!
MAGGIE : - Je te promet que l'on risque rien. Tu me fais confiance n'est-ce pas ?
Elle l'embrasse dans le cou, Michael frémit.
MAGGIE : - Tu n'as donc pas envie de t'en aller avec moi sur une superbe île, avec des dollars plein les poches ?
MICHAEL : - Tu ne sais pas à quel point j'en rêve.
MAGGIE : - C'est notre seule chance de pouvoir concrétiser ce rêve.
MICHAEL : - Mais... moi je me vois très bien vivre avec toi ici, avec ce qu'on a déjà...
MAGGIE : - Eh bien moi pas ! Je veux de l'argent! J'en ai assez de vivre avec mon misérable salaire et me forcer à sourire dans ce costume ridicule d'infirmière.
MICHAEL : - Je te trouve plutôt pas mal moi dans ce costume...
MAGGIE : - Eh bien si tu veux continuer à assouvir ton fantasme, Docteur Mancini, il va falloir me suivre dans mon aventure car je ne veux plus continuer à vivre dans la misère.
MICHAEL : - Tu te rend compte que c'est du détournement de fonds que l'on va faire ?
MAGGIE : - Eh alors ? Vivons dangereusement... Et puis, tu as fait bien pire par-delà le passé chéri... Une bêtise de plus ou de moins...
MICHAEL : - (cédant) C'est d'accord ! Je ne peux rien te résister alors... OK, je te suis.
Maggie l'enlace et l'entraîne sur un lit d'hôpital où ils font l'amour.
MAGGIE : - Tu as le droit à ta récompense alors...

Scene 9
Maison de la plage - dans la cave

Kimberly menace toujours July de l'éliminer et la retient prisonnière.

KIMBERLY : - Alors, as-tu passé une bonne nuit July ?
Kim retire le baillon de la bouche de la jeune femme.
KIMBERLY : - Si tu cries, je te ferai si mal que tu hurleras de douleur...
JULY : - (calme) Relâchez-moi Kimberly. Laissez-moi partir, vous ne pourrez pas me garder éternellement !
KIMBERLY : - Sur ! Mais je ne te lâcherai pas tant que tu m'auras pas donné cette soi-disant preuve que tu détiens pour me compromettre.
JULY : - Je plaisantais... Je n'en ai pas...
Kimberly tire July par les cheveux.
KIMBERLY : - Tu mens !!
JULY : - Arrêtez vous me faites mal...
KIMBERLY : - Je sais que tu ne mentais pas, tu as quelque chose contre moi c'est sur, sinon comment pourrais-tu savoir la vérité ??
JULY : - C'est vrai, j'ai une preuve. J'avoue.
KIMBERLY : - Tu as intérêt à me dire où est-ce que tu la caches, sinon je peux te garantir que le sort que je te réserve sera bien pire que celui que j'ai fait subir à ton amie Phyllis.
JULY : - Qui me dit que vous ne me turez pas même si je vous donne la photo ??
KIMBERLY : - (souriant) Il s'agit donc d'une photo... Merci de la précision, je n'en demandais pas tant... Tu ne vas pas tarder à comprendre que ma patience connait certaines limites, petite écervelée ! Je te donne la journée pour me dire ce que tu as fait de cette photo...

Scene 11
Locaux Annexes de Sterling-Woodward

Lexi s'inquiète de la chute vertigineuse des actions de sa société. Sa compagnie a des problèmes plus graves qu'elle ne le pensait.


LEXI : - (au téléphone) Comment ça Sagurawa-San ne veut plus faire partie de nos clients ?? (...) Non je hausse pas le ton... ou plutot SI, je le monte le ton !!! De quel droit osez-vous penser que je suis incapable de gérer ses campagnes ? (...) Pas digne ??? (...) Non mais vous vous etes entendus espèce de savonette??
C'est ça, au plaisir !
Elle raccroche de rage.
LEXI : - Enfoiré va !! C'est le sixième client qui casse son contrat aujourd'hui !
Soudain on entend un rire machiavélique arriver jusqu'au nouveau local de Lexi. C'est James, qui entre à l'intérieur.
JAMES : - Je ne serais pas trop étonné à ta place de voir tous les clients te quitter si tu les traite de cette manière...
LEXI : - Fiche le camp, James, et surtout ne reviens pas ! Tu connais la chanson ? Alors dégage !
JAMES : - Si tu savais à quel point je jubile de te voir dans la galère, chérie. C'en est jouissif ! Quand je fais l'amour à Monica, je pense au prochain coup tordu que je vais te faire...
LEXI : - Première nouvelle, quand tu fais l'amour tu penses à moi... Flatteur !
JAMES : - Tu sais bien que pour moi, tu restes la seule et l'unique mon ange... pour laquelle j'ai autant de désir que de haine... étrange hein ?
LEXI : - Je trouverai un moyen de me débarrasser de toi un jour ou l'autre...
JAMES : - Oh alors laisse-moi quand même un peu de temps pour savourer cette agréable victoire. Tu as cru que tu réussirais à me détruire et à bouisiller ma vie à cause de cette vidéo, et le piège s'est refermé sur toi, c'est triste hein ? Aujourd'hui ta réputation est plus que jamais discréditée dans les médias, et je parie qua dans très peu de temps tu vas te retrouver à faire les soldes à l'armée du salut... Dommage d'ailleurs, tes tailleurs ont toujours eu l'art de me faire monter la pression.
LEXI : - Rêve pas trop bébé, la seule chose que j'ai envie de faire avec ton engin, c'est de le passer au hachoir !
JAMES : - Chérie, je te propose de te racheter tes actions. Je suis toujours à l'affut de bonnes affaires... Enfin, dans ton cas on devrait plutôt parler de soldes ou de liquidation totale...
LEXI : - JAMAIS !
JAMES : - Jamais, ce ne devrait pas être dans le vocabulaire d'une femme aussi intelligente que toi.
LEXI : - Tes compliments n'y changeront rien, je ne vend rien.
JAMES : - Je t'en propose 1 000 000 de billets.
LEXI : - Un million ? Tu rigoles ? Elles en valent 7 fois plus !
JAMES : - Plus pour très longtemps... Bientôt tu voudras me supplier de te les reprendre pour 50 cents !
LEXI : - Sors de ma vue, pervers ! Avant que je ne joue aux fléchettes avec ma paire de ciseaux et ne te perce un oeil !
JAMES : - Très bien, mais mon offre n'est valable que 24 heures, pas une minute de plus...
LEXI : - Tu te prend pour Jack Bauer ? Dégage !
James quitte le bureau de Lexi, qui reste furieuse.

Scene 12
Melrose Place - devant l'appartement de Pamela

Après être sortis au restaurant, Lucas raccompagne Pamela à son appartement. Mais Pamela ne le laisse pas partir.


PAMELA : - J'ai vraiment passé une soirée magnifique. C'est la deuxième à la suite si je me souviens bien ?
LUCAS : - Oui, car ça fait deux soirs que Michael ne rentre pas de la nuit.
PAMELA : - C'est vrai mais je n'ai pas envie que nous parlions de lui. Ce soir, j'ai envie de penser à moi.
Près de la porte de l'appartement de la jeune femme, celle-ci embrasse Lucas sur les lèvres.
LUCAS : - Tu es sure de ce que tu fais ?
PAMELA : - Je n'ai jamais été aussi certaine de moi de toute ma vie.
Lucas embrasse à son tour Pamela.
LUCAS : - On se voit demain ?
PAMELA : - Tu n'as pas envie d'entrer ?
LUCAS : - Je ne sais pas si c'est raisonnable, je ne veux que tu regrettes...
PAMELA : - Je suis consciente de tout ce que je fais, et j'ai envie que tu rentres.
Pamela ouvre sa porte et, prenant Lucas par la main, l'entraîne jusqu'à la chambre à coucher.
PAMELA : - j'ai envie de toi Lucas.
Pamela retire le t-shirt de Lucas tout en lui caressant le torse.
LUCAS : - Je n'ai jamais aimé autant de toute ma vie...
PAMELA : - Alors ce soir, aime-moi...
Lucas pousse délicatement Pamela et ils font l'amour passionnément.

--- Suite de l'épisode ---
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